Archive de la catégorie ‘14 novembre 2018’
Discussion entre Arlette Farge et Sean Takats (14 novembre 2018)
Après les interventions de Caroline Muller, Frédéric Clavert et Françoise Banat-Berger, a pris place une discussion, modérée par Emmanuel Laurentin (France Culture), entre Arlette Farge (CNRS), autrice en 1989 du Goût de l’archive, et Sean Takats (RRCHNM, Université George Mason), co-directeur ou directeur des projets Zotero et Tropy. Les archives et la métaphore de l’inondation […]
Questions du public à Arlette Farge et Sean Takats
Autres billets sur la journée du 14 novembre 2018 :
Introduction de la journée du 14 novembre 2018
Présentation de la journée d’études Caroline Muller (EA 7468 Tempora / Université Rennes 2) et Frédéric Clavert (C2DH / Université du Luxembourg) présentent la journée d’études Le goût de l’archive à l’ère numérique. Allocution d’introduction par Françoise Banat-Berger Françoise Banat-Berger, alors directrice des Archives nationales, introduit la journée d’études. Présentation du projet Le Goût de […]
Journée d’études du 14 novembre 2018: les enregistrements
Lors de la journée d’études du 14 novembre 2018, nous avions enregistré l’introduction de la journée, la discussion entre Arlette Farge et Sean Takats modérée par Emmanuel Laurentin, et, enfin, les questions du public. Après d’intenses tribulations, nous pouvons aujourd’hui publier ces enregistrements, en trois grandes parties: Introduction de la journée La discussion entre Arlette […]
Commentaires récents sur ce document
21 juin 2021 at 19:06
est-ce possible qu’il y ait un problème syntaxique ?
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25 mars 2021 at 12:43
Nous en avons déjà un peu parlé ailleurs et, franchement, je crois que la question me dépasse, mais il y a un point au moins sur lequel j’aimerais rebondir.
Le travail de recherche est rendu possible par une série de conditions institutionnelles, financières et matérielles. Or ce que les dernières semaines ont encore confirmé, c’est que – même en période de pandémie ! – la principale source de fragilisation de nos disciplines et de nos activités de recherche est institutionnelle et, partant, financière, car politique. Cela vaut aussi pour notre rapport au numérique si l’on considère les questions relatives à l’équipement des personnels, les politiques publiques d’abonnements numériques, etc.
À mon sens la voie la plus éthique et la moins risquée est de limiter la fragilité de nos pratiques en diversifiant consciemment nos modes de dépendance, c’est-à-dire de nous assurer que nous disposons de ressources dont la pérennité n’est pas conditionnée par les seules politiques publiques (ou par les choix de quelques grands éditeurs scientifiques). À ma petite échelle, je crois que ma marge de manœuvre dans le domaine est un petit peu plus grande en ce qui concerne mes pratiques numériques. En somme, il s’agit de troquer un risque contre un autre. Mais peut-être est-ce illusoire ?
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25 mars 2021 at 11:32
Le parc instrumental du laboratoire est redevenu accessible dès la fin du premier confinement et les convoiements de matériel archéologique ont repris, même s’ils se font parfois dans des conditions plus contraintes qu’auparavant. Les programmes internationaux ont été logiquement plus affectés…
Les programmes d’analyses des doctorant·e·s ont été considérés comme prioritaires et ont donc pu reprendre sans trop de soucis ces derniers mois. Mais les créneaux libérés ont aussi poussé des collègues à mettre en place d’autres programmes à plus petite échelle, d’expérimentation archéométallurgique par exemple !
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25 mars 2021 at 11:25
Voir désormais le paragraphe suivant. 🙂
C’est peut-être artisanal, mais cela me semble utile de souligner qu’on ne travaille pas forcément sur ses propres données comme on le fait lorsqu’on les partage dans le cadre de programmes collaboratifs.
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25 mars 2021 at 11:23
J’ai ajouté quelques petites choses au corps de texte…
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25 mars 2021 at 10:57
Dix mois plus tard, il me semble toujours trop tôt pour répondre de manière satisfaisante… à l’heure où j’écris (mars 2021), je crois que les personnels de la BnF attendent encore des directives internes concernant les conditions d’accueil du public du fait du *nouveau* confinement à Paris et en Île-de-France. Wait and see.
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25 mars 2021 at 10:55
Je ne sais pas vraiment quoi ajouter.
Je tâche d’optimiser un tant soit peu mes bibliothèques en usant de marqueurs (tags) et en centralisant mes notes dans Zotero, mais je ne pense pas que ma méthode de travail soit très originale, ni vraiment optimale.
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25 mars 2021 at 10:53
Oui ! 😉
Et on a fait le nécessaire pour éviter le coup de grisou bibliographique.
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9 décembre 2020 at 19:16
Je n’ai pas de commentaires précis à faire, sur des paragraphes particuliers, en tout cas pas qui seraient plus pertinents que ceux de Caroline.
Par contre, j’ai un commentaire général: vous donnez l’impression que la pandémie a accéléré un passage d’une dépendance (aux bibliothèques, aux centres d’archives) à une autre (les bases de données en ligne, légale ou non, les réseaux sociaux numériques pour l’échange de livres numérisés, de données, etc — ce que vous appelez à juste titre braconnage finalement). À la fin de votre texte je me suis alors posé une question: et si l’accès à ces ressources venait à être coupé, que se passerait-il?
La pandémie a coupé l’accès aux institutions de la première dépendance, et accéléré la seconde dépendance. Est-ce qu’en un sens, la pandémie ne nous a pas rendus plus fragiles en accroissant notre accoutumance au numérique, donc en nous rendant vulnérables en cas de défaillance de l’accès à internet.
Je ne suis pas sur de la pertinence de ce commentaire ni certains de ce que vous devriez en faire 🙂
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8 décembre 2020 at 12:49
est ce que la porte de la mine s’est véritablement refermée ou pas 🙂 ?
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